

Les étiquettes à crottes
Mes premières étiquettes datent de 2006, quand j’ai du livrer bataille contre tous les possesseurs de chiens qui avaient transformé la petite place sous mes fenêtres en parc à crottes. Les étiquettes faisaient partie du plan C.
Le plan A, en 2006, m’avait fait accrocher aux arbres des affichettes adressées directement aux chiens.


Le plan B, à quelques jours d’intervalle, avait consisté à entourer la petite place d’une banderole de chantier sur laquelle pendaient, à plusieurs endroits, ces autres affichettes :



Les nouvelles étiquettes
En 2017, quand ma rue s’est retrouvée envahie d’étrons, j’ai repris l’idée des premières étiquettes en les rendant plus attirantes : colorées, avec des slogans affinés.
J’en ai toujours sur moi, rangées dans la pochette de mon sac, avec les formules du métro.
Cette action me semble efficace. Ma rue est plus propre. Soit les maîtres de chiens égoïstes ne veulent plus se faire (autant) remarquer, soit les services de la ville attachés au nettoyage repèrent plus facilement leur cible.
